Nous maîtrisons de A à Z chaque procédé spécifique employé lors de l’intervention en rénovation de façade sur tout type de support : ouvrages d’art, façades classées, très abîmées ou en projet de modernisation.
Notre expertise est reconnue et appréciée.
PS-Rénovation, entreprise du bâtiment, joue aussi un rôle important auprès de ses clients en conseil et accompagnement, lors de la déclaration préalable aux travaux, ou DP.
En quoi la DP est-elle importante ?
Mise en place dans le cadre du principe d’opposition au tiers, la DP est une étape obligatoire avant toute modification sur la façade, les menuiseries et les appuis de fenêtres, mais également la couverture si celle-ci est en périmètre classé.
C’est la DP qui, une fois validée en Mairie, donne le coup d’envoi des travaux. Il faut compter un délai de 1 mois en situation normale, et 2 mois pour un site en périmètre classé.
Eric Renard, pour PS-Rénovation
Lorque l’on parle de « ravalement » , il est entendu le résultat d’un travail de remise à neuf d’un parement. Ce parement lui-même, ou cette façade est la partie visible d’un ouvrage plus global, mais c’est aussi la partie la plus sensible, celle qui subit toutes les agressions atmosphériques.
Le but essentiel de la rénovation de façade est de redonner son aspect architectural d’origine au bâti. Ceci doit être réalisé en répondant pleinement aux objectifs des travaux commandés par le maître d’ouvrage. L’authencité et la statisfaction du client sont donc au centre de notre démarche.
Selon l’année de construction du bien, la technique varie. C’est une mission qui exige à la fois de disposer de connaissances relatives aux différents matériaux, mais aussi de maîtriser les procédés d’intervention spécifiques ou encore de traitements non-invasifs.
Un savoir-faire et une précision qui se sont ancrés dans les valeurs de l’entreprise au fil des expériences et collaborations avec des experts.
Un bâtiment sera reconnu Monument Historique, soit classé, soit inscrit, et protégé à ce titre par l’Etat, lorsque sa conservation présentera un intérêt historique ou artistique.
Pour donner un ordre de grandeur, la France compte 43 000 Monuments Historiques dont 4000 dans la région francilienne, et la moitié en propriété privée.
Réhabiliter une façade protégée peut s’avérer être un véritable défi. C’est le livre VI du Code du patrimoine qu’il faut consulter pour connaître la réglementation, mentionnant des règles précises relatives aux travaux autorisés : restauration et modification ou encore destruction ou déplacement sont soumis à l’approbation du Ministère de la Culture.
Enfin, des aides sont disponibles pour ces rénovations spécifiques. La rénovation d’un monument classé peut être subventionnée à 100%, tandis que le maximum est de 40% pour un monument inscrit.
Ces différents matériaux demandent tous un traitement spécifique et une grande expertise. Pourtant chacun possède des caractéristiques physiques bien distinctes et un ensemble de traitements associés.
La pierre est un grand classique. Elle peut faire l’objet d’un décapage écologique, être lavée au karcher ou hydrogommée à faible pression, les motifs taillés peuvent être repris… il s’agit d’un revêtement à la fois robuste et durable, mais qui exige de prendre des précautions pour bénéficier de toute sa protection naturelle et sa valeur esthétique.
Le plâtre, présent dans une majorité des façades parisiennes, est souvent déterioré par la pollution ; la chaux quant à elle permet de donner une nouvelle vie aux parois très dégradées, ayant un très large spectre d’applications telles la chaux teintée et l’apparence “mur de brique”, les modénatures ou les reliefs ; enfin la brique et la pierre meulière sont des éléments performants et solides qu’il est important d’entretenir afin d’en pérreniser les qualités.
Lorsque le secteur de la construction s’est emparé de la formule du ciment, il a été appliqué à foison sur les façades parisiennes.
Avec quelques décénnies de récul et l’observation de multiples pathologies et phénomènes aujourd’hui bien connus tels l’apparition de moisissures, la respiration de murs, le faïençage, ou plus grave, les problèmes de structures, le besoin s’est fait ressentir de comprendre et traiter ces pathologies en profondeur pour arriver à des solutions perrennes.
Fort heureusement, les solutions sont au moins aussi nombreuses que les pathologies décelées, et les DTU guident les professionnels dans l’élaboration de nombre d’entre-elles. Micromortier de chaux spécifiquement conçu pour le ciment, traitement d’imperméabilisation, peinture de décoration, figurent parmis les exemples les plus connus.
Avec une utilisation intense du ciment dans la seconde motié du siècle dernier, nous avons vu le patrimoine urbain, se doter de nouveaux édifices au parois de composition artificielle, à Paris comme partout en France.
Outre les pathologies qu’il faut impérativement traiter dès manifestation, il est important de rappeler que ce vecteur artificiel offre de nombreux avantages, notamment la simplicité des solutions d’optimisation énergétique ou de la procédure de rénovation – deux démarches qu’il est judicieux de combiner.
On peut aussi souligner que ciment, acier et verre offrent, il est vrai, des possibilités infinies : les réalisations ne sont soumises à aucune contrainte à l’exception d’une bonne ingénierie, et cohérence entre bâti, climat et équipements énergétiques.
En termes de rénovation et d’esthétique à présent, le spectre des possibilités de finitions est presque infini.
Enfin, une rénovation de façade est soumise à une déclaration préalable en Mairie, condition sine qua non pour lancer les travaux.
L'entreprise
Aspects légaux